‘Prodiges: beauté sonore et virtuosité dans leur prodigieuse et novatrice performance.’
El País
‘Ils ont réussi à ce que deux pianos à queue nous donnent l'impression d’entendre l’Orchestre Philarmonique de Vienne’
Panamá América- Epasa
‘Hardis, et non saccageurs, ces deux magnifiques respectent styles et techniques tout en laissant clairement s’élever leur propre voix, jeune et osée, vitale et pleine d’humour, expressive et musicale à plein.’
La Provincia. Diario de Las Palmas de Gran Canaria
‘L’interprétation de Víctor et Luis del Valle a été magistrale. Virtuosité splendide, faculté inouïe de courir des risques et le style le plus sûr convergent en ces deux musiciens […] des sons à vous couper le souffle […] il est rare d’entendre des oeuvres de Mozart jouées de façon aussi convaincantes.’
Stuttgarter Zeitung
‘Nous les attendions. Et ils sont arrivés avec le succès prévisible qu’ils suscitent [...] cette attente pour jouir d’un de ses concerts complet a valu la peine.’
Málagahoy
LE TESTAMENT MUSICAL AUPRÈS DE LA POPULARITÉ IMPÉRISSABLE
Par Raúl Chamorro Mena
Madrid. Le Premier décembre 2017. Auditorio Nacional de Música. Saison Orchestre et Choeur Nationaux d'Espagne. Concerto pour deux pianos et percussions, Sz. 115 (Bela Bartók). Carmina Burana (Carl Orff). Luis et Víctor del Valle, pianos. Juanjo Guillem et Rafa Gálvez, percussions. Jane Archibald, soprano, Juan Antonio Sanabria, ténor, Adrian Ërod, baritone. Pequeños cantores de la Comunidad de Madrid. Orchestre et Choeur Nationaux d'Espagne. Chef d'orchestre: Juanjo Mena.
Le duo del Valle, ainsi que les percussionistes Guillem et Gálvez -solistes tous les deux de l' Orchestre National- ont fait preuve d'une jonction impeccable, ce qui est, logiquement, plus important qu'une exhibition virtuose individuelle, dans cette partition aussi originelle que suggestive de Bartók. Une conjonction et une entente aussi notables que la réalisation musicale de leur interprétation parachevée sous la baguette de Juanjo Mena, sur le podium, en apportant de manière appropriée les timbres orchestraux correspondants, sans entraver le discours musical, bien enfilé, du duo de pianos malaguène et les percussionistes. Ils ont répondu aux ovations du public en jouant un arrangement de Ma mère l'Oye de Maurice Ravel.
https://www.codalario.com/luis-y-victor-del-valle/apartado-para-rotacion-de-informaciones-en-la-cabecera/critica-luis-y-victor-del-valle-con-juanjo-mena-en-la-temporada-de-la-ocne_6284_34_18851_0_1_in.html
Avant