Víctor and Luis del Valle Piano duo

Nous les attendions. Et ils sont arrivés avec le succès prévisible qu’ils suscitent [...] cette attente pour jouir d’un de ses concerts complet a valu la peine.
Málagahoy

Prodiges: beauté sonore et virtuosité dans leur prodigieuse et novatrice performance.
El País

Hardis, et non saccageurs, ces deux magnifiques respectent styles et techniques tout en laissant clairement s’élever leur propre voix, jeune et osée, vitale et pleine d’humour, expressive et musicale à plein.
La Provincia. Diario de Las Palmas de Gran Canaria

Ils ont réussi à ce que deux pianos à queue nous donnent l'impression d’entendre l’Orchestre Philarmonique de Vienne
Panamá América- Epasa

L’interprétation de Víctor et Luis del Valle a été magistrale. Virtuosité splendide, faculté inouïe de courir des risques et le style le plus sûr convergent en ces deux musiciens […] des sons à vous couper le souffle […] il est rare d’entendre des oeuvres de Mozart jouées de façon aussi convaincantes.
Stuttgarter Zeitung

Presse

Mar. 05 2022

NAIZ. Festival Musika-Música: Le pouvoir de guérison de la nature en temps de guerre

Amaia Eregana

05/03/2022

11 heures du matin, samedi, dans une des salles du palais Euskalduna de Bilbo, on joue Mozart (Quatuor numéro 17, 'La chasse'), interprété -comme c'est beau, comme c'est subtil et on me dit que ça n'a rien à voir avec la chasse- par le Quatuor Modigliani. Peu de temps après, cette formation française s'est "transmutée" en autre chose : un orchestre de dix musiciens de haut niveau - parmi eux, les frères Víctor et Luis del Valle de Malaga ; un impressionnant duo de piano - jouant de la scène et des gradins avec le public dans 'Le Carnaval des Animaux', de C. Saint-Saëns.

Il s'agit de Musika-Música, le festival de musique classique qui se tient jusqu'à ce dimanche à Bilbao.

 

 

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Jan. 25 2022

ABC de Sevilla. Teatro de la Maestranza / Tourbillons fantastiques et troublants


Carlos Tarín
Le 25 janvier 2022

"Les frères pianistes Víctor et Luis del Valle ont offert un récital splendide au Théâtre de la Maestranza, où parfois ils étaient un seul pianiste à quatre mains.

S'il y en avait eu un, cela aurait été une performance incroyable pour nous ; mais étant deux pianistes, ils frôlent l'inouï : ce n'est pas seulement qu'ils sont frères, mais qu'ils ont joué presque toute leur vie artistique ensemble et, donc, les impulsions, les pauses brusques, les nuances et même les gesticulations de l'un étaient celles de l'autre... Ils ont commencé à en faire la démonstration avec le Schubert qui a ouvert le programme...

... La richesse sonore et orchestrale de Ravel se mariait très bien avec la musique pour deux pianos (Schubert avait été pour piano à quatre mains)... 'Ma mère l'oye' et 'La Valse' pouvaient encore résonner dans la mémoire symphonique des abonnés, alors qu'il n'y a pas longtemps (la saison dernière) on entendait les deux œuvres dans leur version orchestrale ; maintenant, les mains complémentaires des frères Del Valle nous les rappelaient, essayant de faire ressortir les couleurs au noir et blanc du piano, avec toutes les nuances instrumentales et en extrayant le caractère tantôt plastique (les histoires), tantôt mordant (la valse) des deux œuvres."

 

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Jan. 25 2022

El Correo de Andalucía. Teatro de la Maestranza / Les frères Del Valle, de la magie à deux


Juan José Roldán
Le 25 janvier 2022

"Les pianistes de Málaga sont revenus au Théâtre de la Maestranza pour offrir un récital dans lequel ils ont combiné magistralement prestidigitation avec une expressivité exquise.

Les frères del Valle ont commencé par une œuvre de circonstance de Schubert, un allegro de sonate de haut vol et d'une grande sophistication dans lequel ils ont su faire preuve d'une agilité alliée à un remarquable sens du lyrisme et de l'expressivité. De la même année... la Fantasy D940... Víctor et Luis ont interprété généreusement la pièce, avec une articulation extrêmement stylisée, avec de fréquents retardandi et des silences éloquents et longs à chaque fois que le thème principal était réexposé, et un sens global de l'esthétique et de la mélancolie qui est vraiment saisissant.

Avec l'œuvre de John Corigliano, Claroscuro, ils ont alterné l'exécution à deux pianos avec celle de piano à quatre mains... ils ont réussi à transmettre cette sensation de lumière, ses ombres et ses étincelles dans une pure démonstration de virtuosité et avec une coordination extraordinaire, visible aussi dans les regards de complicité et d'harmonie qu'ils se lançaient. Déjà à deux pianos, ils montraient une profonde émotion dans Ma mère l'oye... les frères s'adaptaient à leurs différents personnages, alliant des sonorités délicates et éblouissantes dans une vision émouvante avec toutes les couleurs et caractères traités sans affectation ni artifice, jusqu'à atteindre l'apogée avec une fin à la fois douce et passionnée dans le Jardin Enchanté. Puis La valse a été une expérience cathartique, dans sa version originale... Un tourbillon somptueux et colossal, avançant en épisodes volatils et culminant dans la pure destruction de l'essence même de la quintessence de la danse viennoise."

 

Jan. 24 2022

Diario de Sevilla. Teatro de la Maestranza / Chorégraphie pour deux pianistes


Pablo J.Vayón
Le 24 janvier 2022

"Ils pourraient faire comme s'ils jouaient sans baisser une touche et le spectacle serait déjà fascinant. Les frères Víctor et Luis del Valle créent des chorégraphies authentiques avec leurs mouvements, que ce soit dans l'intimité physique que donne le partage du même piano ou dans la distance d'utiliser deux en même temps... leur rapport, leur coordination et leur couplage à la fois dans la partie visuelle et sonore de leur travail sont complètement éblouissants... Je ne me souviens de rien à ce stade...

...la Fantaisie en fa mineur, peut-être l'œuvre la plus célèbre jamais écrite à quatre mains, a été une véritable célébration de la mélodie, agrémentée de détails de phrasé (quelques curieuses rétentions, silences allongés, rubatos...) qui ont fait retarder les résolutions harmoniques, avec ce qu'elles ont toujours d'expressif...

... en présentant dans Ma mère l'oye une fragilité sonore qui a atteint ses limites dans le Jardin Enchanté, avec des pianissimi qui semblaient véritablement joués par les fées (comme si Mendelssohn soufflait derrière elles)..."

 

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Sep. 28 2021

VALLADOLID / Les 30 ans de l'OSCyL, une fête musicale

Ritmo
José M. Morate Moyano
Le 27.09.2021

"...Mozart est venu avec sa partition exigeante à tous points de vue. Mais cette fois-ci avec un Duo splendide. Déjà dans leur 1ère entrée après la joyeuse présentation orchestrale, ils ont fait preuve de finesse dans le son, d'accouplement total au niveau de l'union et continuité exigée par la partition qui ne pose pas I et II, mais plutôt un couple authentique ; la double cadence a été parfaite, gracieuse et musicale.

...les hautbois ont chanté leur complainte de façon très expressive, présage de l'énorme sensibilité du Duo en reprenant le thème et en l'alternant avec l'orchestre dans des moments magiques. Le Rondo, si riche et brillant, a montré la précision du Duo, faisant résonner les 4 mains comme 2 seulement, avec une dernière cadence vive et parfaite comme dans l'Allegro initial. L'accueil a été explosif en applaudissements longs et répétés pour tout le monde."

 

 

 

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